VACCINTION OBLIGATOIRE : L’ESCALADE

Marc 13.9 - Prenez garde à vous-mêmes. On vous livrera aux tribunaux…

Les pays, les uns après les autres, prennent des mesures contre les non-vaccinés pour les contraindre à emboîter le pas. Certains se voient condamnés à des amendes, d’autres à la perte d’indemnités sociales, d’autres à payer eux-mêmes les frais médicaux en cas d’hospitalisation… Certains gouvernements vont plus loin : refus de permis de conduire, blocage de la carte sim, non accès à des documents pour trouver du travail… et comble, non réception d’une plainte pour viol à cause de l’absence de pass vaccinal. Cela semble trop fou pour ne pas être une fack news, mais suffisamment réaliste pour y donner de la crédibilité.

La revue des droits et libertés fondamentaux disait quelque chose d’intéressant : « L’ensemble de ces informations suffisent à convaincre que la pandémie de covid-19 a conduit les autorités sanitaires à autoriser une expérimentation vaccinale à grande échelle inédite dans l’histoire de la médecine. En période d’urgence, rien ne paraît juridiquement s’y opposer tant sur le plan de la santé individuelle afin de protéger les personnes vulnérables que sur le plan de la santé publique pour éviter la saturation des structures hospitalières. En revanche, le caractère expérimental de la vaccination invite le juriste à en recontextualiser l’usage, car en cette matière, le droit interne comme le droit international ont historiquement construit la notion de consentement du sujet comme garde-fou pour empêcher toute dérive. Dès lors, ce principe du consentement semble suffisamment bien établi pour constituer un obstacle à l’obligation vaccinale aussi longtemps que les phases de tests cliniques ne seront pas terminées ».

Ces phases de tests cliniques ne sont pas terminées. Certaines devraient aboutir en milieu de cette année, d’autres en 2023. Et d’ajouter dans cet article que le droit français est basé sur le principe de l’inviolabilité du corps humain (reprenant la Parole de Christ à Marie-Madeleine : ne me touche pas). Même si ce principe n’est pas constitutionnel, il se retrouve dans toute la juridiction par la notion de « sauvegarde de la dignité humaine ».

Qu’est-ce qui poussent des hommes d’états, des gouvernements… à durcir des mesures pour que la planète entière s’aligne sur une façon de penser et de se comporter. Vous me direz : « Ce sont des propos de la théorie complotiste ». Oui, mais le complot ne vient pas de ces hommes et femmes aveuglés, il est directement inspiré par le Prince de ce monde de ténèbres et Paul dira (lui aussi un adepte de la théorie du complot) : « Afin de ne pas laisser à Satan l’avantage sur nous, car nous n’ignorons pas ses desseins » (2 Corinthiens 2.11).

Que chacun reste libre de ses choix, en toute connaissance, mais la prudence demeure plus que jamais de rigueur.

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