UN SEUL SUFFIT !

Genèse 18.26 - Et l’Éternel dit : « Si je trouve dans Sodome cinquante justes au milieu de la ville, je pardonnerai à toute la ville, à cause d’eux ».

Nous n’imaginons pas ce que la présence d’un enfant de Dieu dans une ville peut avoir comme conséquence positive. L’Éternel Dieu était disposé à pardonner toute la ville de Sodome, une ville si méchante et dépravée, s’Il y trouvait 50 justes. Nous savons qu’Abraham avait réduit ce nombre à dix. Il se réduit encore à un seul si nous lisons Ezéchiel 22.30 : « Je cherche parmi eux un homme qui élève un mur, qui se tienne à la brèche devant moi en faveur du pays, afin que je ne le détruise pas ; mais je n’en trouve point ».

Nous sommes convaincus qu’il y a une forte interaction entre l’enfant de Dieu et sa ville. Le bonheur de celui-ci dépend de la ville où il est (Jérémie 29.7) mais aussi le sort de la ville dépend de l’attitude de l’enfant de Dieu. Quand Lot a fui Sodome, il a demandé à se réfugier dans Tsoar et celle-ci a été épargnée de la destruction (Genèse 19.21).

Si nous prenons conscience de ces réalités, nous ne pouvons pas rester indifférents. Si nous désirons que l’atmosphère de notre localité change, il nous faut nous tenir sur la brèche pour elle. C’est quoi « se tenir sur la brèche » ? C’est intercéder pour ses habitants, pour ses autorités politiques et ecclésiales ! C’est s’humilier, à l’instar de Daniel, pour ses mauvais choix ! C’est appeler la faveur de Dieu sur elle jusqu’à ce qu’il se crée une percée !

Mes bien-aimés, nous devons nous laisser envahir par l’amour et la compassion du Seigneur pour notre ville. Peut-être qu’elle ne nous plaît pas, peut-être que ses habitants nous exaspèrent, mais si nous sommes à cet endroit précis, c’est pour son salut. Que le Seigneur nous donne de saisir cette autorité et de bouleverser l’endroit où nous nous trouvons.

Bonne réflexion.

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